De Bernard Marie KOLTES
Mise en scène de Claude LALU
Koltès se défend de parler de l’Afrique, pourtant on sait que sa rencontre avec ce continent condamné (selon ses termes) a été déterminante pour la suite de son Œuvre, et il en parle malgré lui. Quant au néo-colonialisme et à la question raciale, même s’il considère que ce n’est pas son rôle d’émettre un avis, il le fait fondamentalement en créant dans « Combat de nègre et de chiens » les personnages de Cal et Horn.